Depuis l’annonce de l’arrivée de la 5G, beaucoup d’associations d’utilisateurs se préoccupe de l’utilisation de nouvelles fréquences et notamment de l’impact sur la santé de celle-ci.

L’ICNIRP (Commission internationale sur la radio protection non ionisante), affirme que la 5G est sans danger pour l’homme.

L’organisation a publié un rapport dont voici ses conclusions sur l’utilisation des fréquences de 100 kHz allant à 300 GHz : « Nous savons qu’une partie de la communauté est inquiète quant à la sécurité de la 5G et nous espérons que ces lignes directrices mises à jour pourront la rassurer. »

« Les lignes directrices préconisées ont été élaborées après un examen approfondi de toute la littérature scientifique pertinente, des ateliers scientifiques et un vaste processus de consultation publique. Elles assurent une protection contre tous les effets nocifs scientifiquement prouvés sur la santé dus à l’exposition aux [champs électromagnétiques] dans le spectre 100 kHz à 300 GHz. »

La commission internationale porte tout de même l’attention sur les ondes millimétriques (Def : Les ondes millimétriques se situent donc à des fréquences élevées, entre 30 et 300 GHz. Outre leur disponibilité sur une grande largeur de bande, elles possèdent plusieurs avantages.)

Ces ondes vont au-delà des bandes 6 GHz et représentent la limite maximale des fréquences 5G, mais toutefois elle devrait rester très largement en dessous du seuil maximal défini par les scientifiques.

Chose a savoir, l’utilisation des fréquences élevées apportent un meilleur débit, mais ses ondes ont un faible impact sur le corps humain.

Pour faire simple, les ondes millimétriques qui touchent notre peau ont tendance à dissiper leurs énergies sur elle-même avant de pénétrer la peau humaine.

 

De quoi rassurer les associations d’utilisateurs.